lundi 29 mars 2010

Il en pense en se rasant !


2 commentaires:

  1. Alain Juppé n'a pas exclu, ce Dimanche 28 Mars, d'être candidat à l'élection présidentielle de 2012 si Nicolas Sarkozy renonçait à se représenter, une position susceptible de créer un trouble dans la majorité.

    Invité sur BFM TV, l'ex-premier ministre UMP a estimé, comme François Fillon, que le candidat naturel de la majorité en 2012 c'est Nicolas Sarkozy... mais s'il arrivait qu'il ne soit pas à nouveau candidat, "je pense qu'il faudra des primaires au sein de l'UMP et de nos alliés, et je n'exclus pas à ce moment là d'être candidat à la candidature", a-t-il ajouté.

    Nicolas Sarkozy a récemment déclaré qu'il se prononcerait fin 2011 sur sa volonté de briguer, ou non, un second mandat.
    Après son épouse Carla Bruni, son père, Pal Sarkozy, a souhaité que son fils ne se représente pas.

    Le maire de Bordeaux a marqué sa différence ces derniers mois, qu'il s'agisse du débat sur l'identité nationale, sur le port de la burqa ou sur les questions d'environnement.

    Il a souligné ce Dimanche que 2010 et 2011 ne seraient pas des années faciles, car la croissance ne repart pas à un rythme très soutenu.

    RépondreSupprimer
  2. Alors que Nicolas Sarkozy dévisse et que Dominique de Villepin accélère dans la perspective de la prochaine présidentielle, le maire de Bordeaux fait à nouveau part de ses ambitions.

    Dans un entretien au Monde, il se redit prêt à présenter, le cas échéant, une «offre» alternative. L'ex-Premier ministre assure que «le candidat naturel de la droite, en 2012, c'est Nicolas Sarkozy. Mais s'il advenait qu'il décide de ne pas se représenter, l'UMP devra organiser des primaires». Et «dans ce cas, j'envisagerai de concourir», ajoute-t-il.

    Interrogé sur les difficultés actuelles du chef de l'Etat, Alain Juppé ironise : «Après la sarkofolie, la sarkophobie.» S'il faut «relativiser les mouvements d'opinion», «une partie du désamour est incontestablement liée au style». Lui assure avoir de «l'amitié» pour le Président, mais revendique sa «liberté de parole».

    A ce titre, il affirme n'avoir «jamais cru à la rupture», flingue le débat sur l'identité nationale et prévient : «On ne peut pas tout faire en même temps en bousculant trop d'habitudes à la fois et en coalisant trop de mécontentements.» Il conseille enfin à Sarkozy «d'adapter le bouclier fiscal».

    RépondreSupprimer

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.